Nach einem Bustrip kommen wir spaetnachmittags in Valparaiso an. Leider bekommen wir von dem Charme der Stadt zuerst wenig mit, da der Himmel wolkenverhangen ist. Am zweiten Tag haben wir jedoch mehr Glueck und wir koennen die Stadt bei Sonnenschein geniesen. Die Stadt ist beruehmt fuer ihre Handlage. Jede freie Parzelle wurde irgendwie bebaut und das dadurch entstandene Chaos traegt wesentlich zum Ambiente von Valparaiso bei. Aufgrund des guten Wetters entschliessen wir uns, ein Boot zu mieten. Dessen Kapitaen zeigt uns bei einer halbstuendigen Fahrt durch die Bucht die wesentlichen Sehenswuerdigkeiten des Hafens und wir koennen nebenbei noch eine hervorragende Aussicht auf die Stadt geniessen.
Da unsere Herberge eine Kueche hat, koennen wir das erste Mal seit dem Beginn unserer Reise selber kochen, was eine angenehme Abwechslung nach eineinhalb Monaten Restaurant- und Marktbesuchen darstellt.
Valparaiso... Rien que son nom suffit à voyager! Il s'agit d'un grand port, à une époque meme, le plus grand port d'Amérique Latine aujourd'hui beacoup moins important et donc un peu décrépit. Mais Valparaiso, c'est surtout une ville colorée, construite autour d'une jolie baie sur des "Cerro" (petites montagnes) à des endroits assez improbables. C'est aussi la ville qui a vu naitre ou vivre les personnalités chiliennes les plus célèbres, de Pablo Neruda jusqu'à Pinochet! Je ne dirais pas que Valparaiso est une jolie ville mais elle a beaucoup de charme. La ville se divise en 2 parties: la ville basse, ou centre economique avec ces petites tours, ces monuments historiques et son port, et la ville haute avec ces ruelles tortueuses, colorées, construites à flanc de coline, parfois en piteux état mais heureusement de plus en plus restaurées . Et pour y accéder, on peut prendre les escaliers mais nous avons le plus souvent opté pour les ascenceurs, sortes de petits funiculaires. Bref, c'est une ville à voir.
Nous avons même failli y rester plus longtemps que prévu car Matthias a entendu son dos craquer pendant la nuit et s'est fait un joli tour de rein. Nous avons donc effectué une visite imprévue dans cette ville: le chyropracteur, un Américain un peu brutal, Docteur Flynt, membre de la garde nationale américaine, qui après quelques cracs assez forts lui a remis le dos en place... Nous pouvons donc continuer notre chemin vers Santiogo. Heu, la seule chose est que je dois porter toutes les valises en attendant que le dos soit complètement remis, soit 35 kg environ. Une vraie mule!!!
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Aurelie + Pablo Neruda |