dimanche 31 juillet 2011

44 - 46. Tag (26 - 28. Juli): Santiago

Nachdem wir nun den nördlichen Teil Chiles ausgiebig erkundet haben, kommen wir heute in der Hauptstadt an. Mehr als ein Drittel der chilenischen Bevölkerung lebt in Santiago, wodurch die Stadt eine aussergewöhnliche Stellung in politischer, wirtschaftlicher und kultureller innehat. Es gibt wahrscheinlich wenige Staaten, die mehr zentralisiert sind, als Chile. Die Stadt selbst ist im Gegensatz zu Lima und La Paz vollkommen "modern" im westlichen Sinne und lässt sich kaum von amerikanischen Grossstädten unterscheiden. Bis auf eine Ausnahme: die Umgebung und die damit einhergehende Luftverschmutzung. Da Santiago von teilweise über 6000 Meter hohen Bergen umgeben ist, befindet sich die Stadt fast ganzjährig unter einer Dunstglocke. Manche halten Los Angeles ja schon für luftverschmutzt. Die, die das behaupten, waren noch nicht in Santiago... Abgesehen vom Smog hält die Stadt relativ wenig Überraschungen bereit, da sie, wie bereits erwähnt, weitaus weniger "exotisch" ist wie die Hauptstädte von Peru oder Bolivien. Nichtsdestotrotz verbringen wir zweieinhalb Tage dort, da die Stadt doch relativ gross ist, und wir einen vernünftigen Überblick bekommen wollen. Dabei besichtigen wir auch den Alameda-Palast, den Amtssitz des chilenischen Präsidenten. Dieser Palast hat eine aussergewöhnliche historische Bedeutung, da genau dort am 11. September 1973 (nicht zu verwechseln mit 2001) Augusto Pinochet einen Putsch vor den Augen der Weltöffentlichkeit gegen den damals amtierenden Präsidenten Salvador Allende durchführte.

Finie la nature, les grands espaces, nous arrivons à Santiago, la capitale du Chili qui regroupe un tiers de la population totale du pays, soit près de 6 millions d'habitants. La ville est située dans une très belle vallée fertile entourée d'énormes montagnes enneigées dépacant les 6000 mètres. Malheureusement, cette situation géographique est à l'origine du plus gros problème de Santiago: la pollution. Il est rare d'avoir un ciel complètement dégagé et donc souvent compliqué de profiter du beau paysage car le ciel a bien souvent une couleur marron-gris due à la pollution. Ca gache quand même un peu la balade...
A part ca, Santiago est une grande ville moderne sans grand charme mais pas désagréable. Il faut dire qu'une grande partie du Chili a régulièrement été dévastée par des tremblements de terres, tsunamis, innondations... Du coup, la plupart des monuments anciens n'ont pas résisté. Pour Santiago, il reste quand même quelques beaux quetiers animés comme Bellavista ou assez originaux comme le barrio Brasil. Quelques monuments comme la Moneda qui avait été détruite aussi mais c'est une autre histoire...Et puis la ville est plutôt animée avec des zones piétones, ses étudiants (d'ailleurs tous en grève depuis 2 mois. Il faut dire que l'université peut couter jusqu'à 20000 euros par an au Chili!) ses grandes places, le marché et le fameux Donde Augusto qui cuisine les poissons et fruits de mer ultra frais que l'on peut trouver à Santiago. 
Sinon, A Santiago, j'ai été prise d'un petit moment de nostalgie. Nous avons donc acheté le Monde et d'autres magasines francais (vive les capitales). Et puis comme ca ne suffisait pas, nous avons décidé de dormir dans l'hotel Paris, rue Paris...:-) Bon l'hôtel n'était pas trop mal si ce n'est des douches assez étranges (eau trop chaude et entrée dans la douche par le wc!) Ca me permet de faire une petite parenthèse sur cette partie des chambres d'hotel qui a ma fois son importance. Alors, certes, nous ne dormons pas dans des hotels de luxe, loin de la, mais depuis notre arrivée en amérique latine, la salle de bain de notre futur hotel est toujours un motif d'inquiétude. Donc la première étape en réservant un hotel est deja de demander s'il y a de l'eau chaude. Car en particulier au Pérou, une bonne partie des hotels ont l'eau mais pas chaude. Parfois, il faut attendre de faire couler l'eau pour se rendre compte qu'ils n'ont pas ouvert l'arrivée d'eau chaude et donc voir le proprio pour le lui demander. A la Isla del Sol par exemple, il n'y avait pas l'eau courante sur l'ile (pourtant entourée d'un lac d'eau douce) et ce sont des mules qui partent tous les matins remplir des bombonnes d'eau... Nous avons également eu droit au panneau solaire qui fonctionne tout le tempsà l'exception des 2 semaines par an où il ne fait pas soleil à Iquique (pas de chance) Et puis après il y a les systèmes de douche, toujours différents jamais performants. Sans parler du fait que les salles de bain ne soient jamais chauffées (comme le reste d'ailleurs) et qu'il fait en moyenne 0 degrès la nuit... Qui a dit que les voyages forment la jeunesse?
Büroviertel / Quartier d´affaires, Santiago

Fussgängerzone / Zone pietonne, Santiago

Rentner beim Schachspielen / Personnes du troisieme age en train de jouer, Santiago

Hauptpost, Poste centrale, Santiago

Geschichtsbeladener Präsidentenpalast (Alameda), Palais presidentiel (Alameda) chargé d´histoire

Der Gipfel des Schwachsinns: Einstieg in die Dusche erfolgt ueber die WC-Seite! / Si vous voulez prendre une douche il faut passer par les toilettes. Vive l'intelligence!

Uni im Streik / Fac en greve (comme en France)

Wollknäuel / Boule de poil

Geschäftsviertel / Quartier d´affaires, Santiago

Filmplakat / Affiche pour LE film de l'année

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